Existante depuis plus d’un siècle mais peu répandue au sein de la communauté chirurgicale, la rhinoplastie conservatrice, ou « preservation rhinoplasty », connait depuis ces dernières années un essor mondial.
Autrefois limitée à la seule préservation du dorsum nasal, elle s’étend à présent au respect de l’enveloppe cutanée et musculaire, des cartilages et des ligaments. Devant ce regain d’intérêt majeur, les techniques se développent, se multiplient, les indications voient leurs limites repoussées toujours plus loin.
La philosophie est simple : pourquoi détruire et reconstruire ce qui peut être conservé ?